Le désir qui tient

Ces mots où tu parles du lac.
De la terre, et du désir qui tient.

L’hiver ici bat son plein.
Les jours ressemblent à la neige, soumis à tous les vents.
Chaque matin qui relance le sens à la dérive.

Par la fenêtre, les flocons dégringolent.
Les uns contre les autres. Le sublime qui s’accroche.


Photo : SOIR D’HIVER – Février 2021 * Montréal

5 réponses à Le désir qui tient

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s