J’ai refait la même chose. Une fois, deux fois, trois fois. Comme la neige, comme l’arbre. J’ai tout repris à l’intérieur comme on reprendrait une valse, un vol d’oiseau, un chemin blanc. Et la rivière pendant ce temps s’est couverte de neige. Il n’en reste à voir qu’une strophe, quelques vers, une poésie d’eau.
Ailleurs le monde qui s’est fait plat. La même comédie, la même roue qui tourne. Pour une raison ou pour une autre, l’humain qui s’éprend d’une fable et qui s’y enchaîne.
S’il fallait que le vent.

Photo : VERT DE SO – Petite Nation 2022
Superbe poésie et photo!!
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ensemble d’une belle discrétion, qui envoûte
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La nature qui persiste à se calmer d’un hiver.
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vers d’eau….du vert et des vers…..et je tourbillonne dans tes flocons légers
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Beautiful photo!
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valse neigeuse , poésie d’eau … nous tiennent sous leur charme , vos mots
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