Si votre quotidien vous paraît pauvre, ne l’accusez pas; accusez-vous vous-même de n’être pas assez poète pour en appeler à vous les richesses. Rilke
quelque chose s’est alourdi
au revers des solitudes que nous sommes toujours
quelque chose a changé
encore que je me méfie
de ces tableaux qui me tirent loin des courants d’aube
j’aime mieux donner à l’eau
et au vent, qui la fait trembler sous le ciel
Photo : FEUILLE, EAU, RAIS ET MINÉRAUX * Au lac – Juin 2019
Si j'étais un arbre 
.. Et juste,
Ce chemin de l’errance,
Tracé par la lumière,
Nervure de sable,
Pour feuille qui se baigne..
Des bises tendresse, douce toi
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L’eau, l’air, l’arbre, la vie … toujours là, jamais les mêmes.
Bise et douce journée à toi, Caroline.
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Lu et relu et toujours touchée magnifiquement par « les lettres à un jeune poète ». Et tes mots qui suivent. Si inspirés.
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Quelque chose s’est alourdi… L’air ambiant est plus lourd, certainement. Mais nos âmes restent légères et fragiles. Comme un poème porté par le vent.
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ah les mots de Rilke, combien je les aime et combien ils t’inspirent! ta photo, les mots: le bonheur! bises de tendresse pleine, Caroline!
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Il y a tant à voir !
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