Touche-moi, dit-elle à l’aube.
Même juste me frôler
comme un souffle de verre.
Coulé par le grand ciel
envers et malgré nous.
S’accrocher, tu me dis.
Bien sûr au tendre jour.
À l’érable qui berce
le lieu de nos amours.
Pareil pour la vague,
celle-là même qui se brise
juste avant d’être au sable.
Bien sûr la tendre rive,
et la mer qui rend tout.
Si vrai que dans mon corps
se dilate mon âme, sinon que
dans mon âme se dilate mon corps,
ma peau y sait le drame.
Et qu’à défaut de vite,
on ira lentement.
Le temps est tellement vaste
qu’il tient de quoi se perdre
et de quoi se trouver.
Photo – LE MATIN EN MONTÉE * De la cuisine, 7h06 – 12 avril 2020
Au temps je ne peux pas plus que le balancier de l’horloge. Autant me balancer.
Douceur et sourire, chère Caroline.
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Tout est beau
et particulièrement les deux dernières strophes…
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Tellement vaste, le temps. Si vrai, tes mots. Merci…
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Beau, comme une vaste résonance de vivre…
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Si beau,
Si vaste
Que ma peau en frissonne..
Merci, tendre toi
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[…] Tellement vaste, le temps […]
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sur la plume de ton temps je vogue vers toi………….
dieu que c’est beau…..ton image…..tes mots
j’en sors inondée de lumière
je t’embrasse, douce caroline
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Merci pour cet éclat matinal.
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Mesure soumise et libre
le paradoxe état soeur
A faire: se dilate
Attendu: se rétracte
Fait: divers
Enfant qui n’a pas grandi
j’ai pas coûté cher en habillement
je suis à l’heur de mon premier costume marin..
N-L
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