par chance de beauté les roses
et l’oiseau dans la cour
t’as raison la musique
et les mots qu’on attrape
les vents portent une trace
quelque part une grâce
c’est seulement te dire et encore
ces états dont tu parles
et nos matins semblables
le détour, le voyage
plus lent que lent
à aimer l’ombre au pied du mur
comme là, le dos sur la pierre chaude
dans la tiédeur du temps
si l’ortie me brûle c’est
ça, c’est toute mon âme qui lui ressemble
et que l’amour est fort autant
qu’une mer sauvage
la vigne tombe belle
lourde par la fenêtre
je répondrai si tu m’appelles
Photo – LE DON * Juin 2020 – Montréal
Autant de terrain regagné sur les roses….
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Ton poème est «quelque part une grâce»…
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Je t’aime.
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oui une grâce……..que c’est bon…..mmmmmm
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Francine l’a dit avant moi.
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D’écho en écho,
De matins enrobés de rêves,
Où l’on voit le bleu de l’ombre,
Celui qui éclaire même l’errance,
Celui qui donne la force
De dire oui, encore..
D’écho en écho,
Dans le noir de la nuit,
Tes mots me sont caresses..
Tendrement vers toi..
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du doigt effleurer la chose tandis que l’esprit nage en surface. Merci
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Oui, je comprends ces voyages si lents mais qui sont de vrais et grands voyages. Il y a dans tes mots la clarté et le trouble, la musique et l’amour.
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