Il y a l’impétuosité du temps.
Et l’enfant tendre, qui ressent les maux de la terre.
Autant de survivances claires,
comme tes yeux qui savaient mais demandaient quand même.
Et ce bout de ruelle où on se sera croisées.
Tout ce qu’on prend comme des voleurs.
Et pourtant les oiseaux –
et tout l’amour qui nous ressemble.
Photo : Pour Estelle – Mars 2021 * Montréal
ce bout de ruelle où on se sera croisées, je m’en souviens.
Merci beaucoup
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Ah! les oiseaux…
Que c’est beau, Caroline. Merci.
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On dirait qu’il ou elle tient un oiseau dans les mains ;o)
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ce « et pourtant les oiseaux » juste avant l’amour, comme un chant, la main d’un enfant qui ne s’agrippe pas trop fort à une main, en change sans volonté.
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Envol des croisées
Là, au bord du chemin,
Ou au bord de tes mots,
Et sur la branche,
L’oiseau du tendre..
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