j’ai raté la grande porte
celle dont tu rêvais
t’es passée tout droit, tu dirais
et moi qui n’y pensais jamais
pas comme au temps qui passe vite
et au printemps qui s’en revient
aux oies sauvages qui crient là-haut
dans le ciel du retour
et pas autant qu’à toi
ça coule en beau ruisseau ici
et si jamais le coeur appelle
de la rue ou la nuit
on partira plus tard, c’est tout
y a pas de quoi s’en faire
·
Photo : LA BISE – Mars 2021 – Montréal
Comme c’est lumineux…
Merci.
N-L
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revenue d’une passée d’hirondelle
tu partages…
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Je suis bien persuadé que l’instant insignifiant compte beaucoup.
Bise et douceur et sourire, Caroline.
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Oui, on peut toujours partir,
Sur le vol des oies sauvages
Ou sur le chant du printemps
Qui s’en revient..
« il n’y a pas de quoi s’en faire »
.. Si tendrement, ma douce amie
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Serene dreamy..
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espoir, espoir….toujours et encore douce Toi
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