Déshabiller même l’image, celle qui cherche à dire.
La folle élégance des roses
et le peu encore que j’en vois –
comme de la nuit autour de moi
restée fidèle au monde –
et du temps, du temps dans sa veille,
qui prépare chaque fois le matin.
Le désir a de grands habits,
mais c’est vrai : je pourrais être nue
et les heures n’y perdraient rien.
Photo : CHALEUR D’ÂMES – Mars 2021 * Montréal
Non l’habit ne fait pas le moine ô, Caroline
Encore un doux poème…
N-L
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Un autre poète chantait de se méfier, que le grand amour se promène dans des habits trop grands pour lui.
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C’est pas une mauvaise idée de voir large.
Bise et douceur, Caroline.
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La lumière chaque matin refait le paysage
& marque en couleurs le temps qui passe.
Quand la nuit vient & couve, couvre l’infini d’étoiles,
nous,le nez en l’air, oublions notre image.
Amical mirliton
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