J’aime ce matin d’orage.
Comme une libération longtemps attendue.
Et ce vent. Qui caresse mon avant-bras.
J’irai encore la voir, parce qu’ainsi va la vie.
Ici dans ma ville, c’est plutôt le corps qui décide du moment où l’on meurt.
Si on me demandait de la décrire, je dirais qu’elle dit peu.
Qu’elle regarde et qu’elle voit, sans condamner.
Et qu’elle possède par-dessus tout l’art du pardon.
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