… ça se tait dans les glaises chauves
n’ajoute rien, ni sel, ni sable, ni vinaigre.
Suzanne Jacob
Je me levais dans le noir. La fenêtre était noire.
Le monde s’était séparé du visible.
Pascal Quignard
–
Au jeu de la fascination, les arbres sont toujours preneurs.
C’est pareil pour la chair, même si la forme est sombre.
J’ai lancé une ligne pour m’accrocher le doute, entr’ouvrir les yeux de la bête.
Et j’ai frappé à la première enseigne.
Je sais bien que quoi qu’il arrive, rien n’avalera le ciel.

Photo : LA DOUCEUR DE SEPTEMBRE – Avant-hier * Ruelle de Montréal
Rien n’avalera le ciel…beau
J’aimeJ’aime
Merci Sylvie.
J’aimeAimé par 1 personne